3 leçons à tirer des échecs de Richard Branson

21 mars 2019 par
BECI Community

Qui ne connaît pas le serial entrepreneur britannique aux 1001 succès, Richard Branson ? Fondateur du groupe Virgin, sa fortune est aujourd’hui estimée à 5,1 milliards de dollars. Il est considéré comme l’un des hommes les plus riches du Royaume-Uni. Mais, si l’on connaît ses succès, on a tendance oublier qu’il a également collectionné les échecs.   

 

En prison pour évasion fiscale : Le milliardaire anglo-saxon est connu pour célébrer ses échecs. Parmi eux, la vente de disques au début des années 70. Branson s’y lance avec sa jeune marque Virgin et finit en prison. La cause ? L’entrepreneur déclarait une bonne partie de ses ventes à l’export pour éviter de payer des taxes. Le fisc découvre le stratagème, l’envoie derrière les barreaux et y ajoute une amende de 200 000 livres. L’entreprise, encore à ses prémices, est au bord de la faillite. Sa mère se voit obligée d’hypothéquer sa maison pour l’aider. Peu après, il signe Phil Collins ou encore les Sex Pistols sur son label et fait un carton plein !   

Virgin Cola, une erreur à ne pas commettre : Lancé en grande pompe en 1993, Virgin Cola est l’un des échecs les plus cuisants de Branson. Pourtant, l’homme est persuadé de son coup : il loue un tank, bloque le célèbre Time Square en écrasant des centaines de milliers de cannettes de ses concurrents Pepsi et Coca-Cola. Il va même jusqu’à poser nu avec, pour seul attirail, un pack de Virgin Cola pour cacher son intimité. En 2012, il stoppe définitivement la production et reconnaît publiquement qu’il n’aurait pas dû sous-estimer les grosses compagnies qu’il pensait endormies. 

Virgin Brides, le business de trop : Peu de gens le savent, mais Richard s’est lancé dans les robes de mariées. Encore un échec. On ne cherche plus à comprendre, quand on sait que l’homme s’est lancé dans des secteurs extrêmement variés : Virgin Active (salles de sport), Virgin Atlantic (compagnie aérienne), Virgin Hotels, Virgin Mobile, Virgin Books, Virgin Trains… Si ces nombreuses filiales (300 au total), n’ont pas toutes été lucratives, le modèle Richard Branson reste l’un des plus importants du monde entrepreneurial. 

 

Le chocolat belge : sous l’impulsion de Pierre Marcolini, ce livre fait la part belle à une nouvelle génération de chocolatiers belges « bean to bar » qui fabriquent leur chocolat à partir de la fève de cacao. Racine

Trouble : « Anvers, 1940. Wilfried Wils, 22 ans, a l’âme d’un poète et l’uniforme d’un policier. Tandis qu’Anvers résonne sous les bottes de l’occupant. Il traverse la guerre mû par une seule ambition : survivre. Soixante ans plus tard, il devra en payer le prix. »Jeroen OlyslaegersStock

Nous ne sommes pas de mauvaises filles :Un premier roman réussi pour cette auteure belge qui aborde avec une douce férocité la relation mère-fille. Valérie Nimal, Anne Carrière

BECI Community 21 mars 2019
Partager cet article

TAGS 
Archiver