Traduire pour exporter

19 novembre 2019 par
BECI Community

Vous croyez en votre produit et souhaitez l’exporter  ! Condition préalable, fournir la documentation sur ce produit dans la langue du marché qu’on veut atteindre.  

Vous avez un accord commercial à signer avec un partenaire s’exprimant dans une autre langue ? Mieux vaut que le document soit bien traduit afin d’éviter tout malentendu qui pourrait être source de rupture de contrat ou même de procès.  

La traduction d’un document, quel qu’il soit, est à prendre au sérieux. Une traduction aléatoire et peu scrupuleuse donne directement une image désastreuse à votre produit, à votre service, à toute votre entreprise et à vous-même.  

Comme dans tous les métiers, il y a des experts dans ce domaine. En général, ils travaillent pour des bureaux de traduction qui disposent de spécialistes dans chaque domaine et pour chaque pays. Un médecin ne va pas traduire un contrat pour un accord de distribution, pas plus qu’un juriste ne transcrira dans une autre langue la notice d’un médicament.   

C’est pourquoi il existe des entreprises qui garantissent un service sur mesure et de qualité. Certains de ces bureaux de traduction comptent des milliers de collaborateurs, experts dans leur métier, répartis sur le globe entier. Ces bureaux exigent non seulement du traducteur une grande expertise dans le domaine à couvrir, mais aussi qu’il réside dans le pays auquel est destiné le texte.  

Les domaines d’expertise, avec chacun son spécialiste dans sa langue, peuvent être multiples. Rien que pour le secteur juridique, certains bureaux collaborent avec des professionnels en droit du travail, droit social, droit public, contentieux et arbitrage, ‘corporate restructuration’, droit des sociétés… Mais ils s’adjoignent aussi les services d’experts en banque et finance, propriété intellectuelle, immobilier, marché des capitaux, assurances, mais aussi d’ingénieurs et de médecins. 

Quant aux langues, elles se comptent facilement en dizaines. Rien que pour la Belgique, ce sont déjà trois langues. Pour s’exporter vers quelques pays alentours, on monte vite à 15 langues. Pour couvrir les pays membres de l’Union européenne, cela grimpe à 24 langues. Et que penser encore des marchés russe, asiatiques et africains ? 

C’est la démarche inverse si on veut importer un produit étranger et le commercialiser dans notre pays : il faut trouver des traducteurs experts pour adapter aux langues du pays le mode d’emploi d’une machine venant de Chine ou la composition d’un médicament ou d’un aliment venant d’une autre partie du monde. 

Et le coût d’une bonne traduction ? Contrairement à certaines idées ancrées, il n’est guère exorbitant et sans surprise puisqu’il est fixé par mots traduits, entre 0,10 et 0,15 euro le mot – l’écart n’étant pas lié à la complexité du texte, mais à la langue de la traduction. Le coût sera plus élevé pour un texte traduit en allemand que pour un texte traduit en chinois, puisque le traducteur habite dans un pays où le coût de la vie est plus élevé.  

En termes de délais, un bon traducteur peut rédiger huit pages par jour. Selon les bureaux, cela peut se faire dans l’urgence, le jour même. 

Dans tous les cas, mieux vaut faire appel à un bon bureau de traduction. Le retour sur investissement est immédiat (notamment pour la traduction de vos pages web) et l’image de marque de votre entreprise ne souffrira pas d’une traduction approximative. 

 

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BECI Community 19 novembre 2019
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